L’Odyssée du vice propose une relecture hallucinée de la célèbre fresque mythologicle d’Homère.
En mission intergalactrique pour une durée indéterminée, Roger l’astronaute se languit de sa bien aimée Penny. Fraîchement débarqué sur une planète plutôt accueillante, il est séduit par les courbes de ses paysages et ses cieux chatoyants et il se laisse aller à quelques fouilles un peu trop approfondies. Il faut dire que Roger est à la fois rongé par l’absence de sa douce et bercé par les réminiscences de leurs étreintes. Il s’abandonne alors au plaisir apparemment partagé d’une exploration sans tabou. La jouissance est intense mais, au petit matin, la perte est lourde : sa teub a disparu ! Et la faune locale constituée de créatures toutes plus érotiques les unes que les autres ne semble exister que pour le ramener à son triste sort…
Roger ne connaîtra alors plus aucun répit car, du fond de ses caves moites au sommet de ses dunes voluptueuses, cette foutue planète semble bien décidée à lui faire pleurer tout son foutre !
Avec Ulysse ça glisse, mais avec Panique ça nique