La Fureur de jouir soulève des questions importantes. Peut-on rester l’ami des bêtes sans avoir envie de les baiser ? L’amour physique est-il sans issue, même avec un zébu ? Eh oui, voilà quelques uns des dilemmes auxquels est confronté le jeune Adolf Hitler, infirmier vétérinaire au zoo de Vincennes. Il faut dire qu’Adolf a une drôle d’occupation : niquer le plus d’espèces animales possibles avant la sixième extinction massive. Quitte à finir avec des boches sous les yeux et les teutons qui pointent ! Chameau, caméléon, chimpanzé, chien de race supérieure… toutes ces bestioles en chaleur s’offrent à lui sans résistance.
Mais comment expliquer que ce bourreau des (bun)cœurs aux multiples conquêtes ne puisse jouir qu’en assouvissant d’obscènes fantasmes zoophiles ? Ce pauvre Adolf Hitler serait il… UN MONSTRE ?! Heil, heil, heil ! C’est aryen n’y comprendre… Après Jurassik Reich publié chez Super Loto éditions, Félix Kerjean revient en territoire occupé avec La Fureur de jouir. Pour BD-CUL, il crée une bédé pour tous les nostalgiques du troisième derch et qui va faire fourrure. Croix gammée, croix de fer, si je mens, je vais en enfer !