Les Melons de la colère – Bastien Vivès
» Avec cette BD en forme de manifeste à peine sérieux qui joue l’humour trash et le clin d’œil à Steinbeck, Vivès surprend encore et se rend de plus en plus indispensable. »– Planète BD BASTIEN VIVÈS LES MELONS DE LA COLÈRE Broché, 13 x 18 cm, 128 pages14€Disponibilité : en stockISBN : 978-2-84961-114-2 Je le veux ! Magalie vit à la campagne avec ses parents et son petit frère, Paul. Coupée du monde, la famille ne possède ni télévision, ni téléphone, ni ordinateur.Comme tout bons agriculteurs, ils sont durs au labeur. Mais pour Magalie, le travail aux champs n’est pas toujours simple. En effet, la pauvre souffre d’un énorme problème : ses seins ! Ils sont si démesurés, si lourds, si fermes, si ronds doux et… pardon… si massifs qu’ils la martyrisent. Depuis des années, elle supplie son père de l’emmener voir un médecin, mais hors de question : tous les toubibs sont des charlatans. Pourtant, un jour, face à la détresse de sa progéniture, il finit par la conduire chez le vétérinaire. L’examen donne lieu à un diagnostic sans appel : il faut la faire ausculter par un spécialiste. À son tour, ce dernier préconise une consultation chez un groupe d’experts en ville, etc. Le châtiment paternel sera alors sans gland ! Réservé à un public averti, Les Melons de la colère, le premier BD-CUL de Bastien Vivès, c’est La Petite Maison close dans la prairie ou Le Voyeur est dans le pré. Nom : VivèsPrénom : BastienSituation amoureuse : multi-éditeursIntéressé par : ultra méga gros lolosSexe : par pitié !Date de naissance : 1984Lieu de naissance : Big Tits, Arizona (USA)Signe astrologique : nichon ascendant locheCouleur des cheveux : brun curlés qui sentent super bonsFaux seins : au maximumTatouages : certainement pasPiercings : certainement pasMensurations : disproportionnéesRécompenses : lécher des seinsFormation : Arts appliqués, École supérieure d’arts graphiques, les Gobelins et la rueStatut de Carrière : actif Palmarès : Le Goût du chlore, Casterman, 2008 ; Polina, KSTЯ, 2011 ; Une sœur, Casterman, 2017